L’éducation en France en 2025 : les 10 défis chocs qui démontrent l’urgence d’agir

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L’éducation française traverse en 2025 une période charnière marquée par des défis structurels majeurs qui mettent en péril la promesse républicaine d’égalité des chances. Une analyse approfondie des indicateurs clés révèle dix problématiques majeures qui appellent à une action immédiate et concertée.

Cette étude, basée sur les dernières données statistiques du Ministère de l’Éducation nationale, de l’OCDE et d’organismes de recherche indépendants, dresse un état des lieux sans concession du système éducatif français. De la pénurie d’enseignants aux inégalités territoriales, en passant par le retard numérique et la violence scolaire, faisons un tour des chiffres qui devraient nous alarmer sur l’éducation en France.

La pénurie d’enseignants : une crise historique et structurelle

La pénurie d’enseignants en France atteint des proportions alarmantes, comme en témoigne la chute drastique du nombre de candidats aux concours de recrutement qui a diminué de plus de 58,6 % entre 2005 et 2023. Cette situation critique s’illustre par les 3 100 postes non pourvus sur les 23 800 ouverts aux concours en 2023. 

Évolution du nombre de postes et de candidats aux concours de personnels enseignants du premier et second degré public

Source : Ministère de l’Education Nationale 

Les causes de cette crise sont multiples, à commencer par une rémunération peu attractive : les enseignants français en primaire en 2017 gagnent 5,17 % de moins que la moyenne de l’OCDE et 42,65 % de moins que leurs homologues allemands. En témoigne ce graphique réalisé par Franceinfo illustrant le salaire annuel moyen d’un enseignant en primaire en 2017.

« La baisse du nombre de candidats au concours de CPE s’explique par plusieurs facteurs. Tout d’abord, la charge de travail s’est alourdie en raison de la complexification des problématiques psychologiques et sociales des élèves, exacerbées par les réseaux sociaux et la crise du COVID. Parallèlement, les moyens et l’autonomie des établissements se sont réduits, tandis que la reconnaissance de l’École par les familles a diminuée. Ces dernières, avec des attentes élevées, engendrent parfois des tensions. Au cœur de ces interactions, le CPE gère des situations délicates entre familles, enseignants et direction. Enfin, la mobilité imposée par le système d’affectation dissuade certains candidats. »

Julie Zender (CPE dans le Sud de la France)

Salaire annuel moyen d’un enseignant en primaire en 2017 – Franceinfo

Les conséquences sont préoccupantes, notamment un taux élevé d’enseignants non-titulaires (9% dans le second degré), des difficultés de remplacement particulièrement marquées dans certaines académies comme la Seine-Saint-Denis, et un impact direct sur la qualité de l’enseignement.

Cette crise structurelle nécessite des mesures urgentes pour restaurer l’attractivité du métier d’enseignant et garantir un enseignement de qualité pour tous les élèves.

Baisse drastique du niveau scolaire des élèves en France

La France fait face à une crise éducative sans précédent, comme en témoignent les derniers résultats PISA qui placent le pays à la 23ème position, avec des reculs notables en sciences et en lecture. 

L’évolution des scores PISA de 2000 à 2022 révèle une tendance inquiétante, notamment une chute incompréhensible des résultats des élèves français en compréhension de l’écrit, en mathématiques, mais aussi en sciences. La chute dans certaines disciplines est de plus de 31 points en seulement 22 ans.

Évolution des scores moyens des élèves français en compréhension de l’écrit, en mathématiques et en science (PISA 2000-2022)

Source : Enquête PISA 2022 de l’OCDE Paideia Éducation

Plus inquiétant encore, les disparités sociales se creusent, puisque 98% des enfants de milieux favorisés maîtrisent bien ou très bien les compétences en français, contre seulement 76% des enfants de milieux défavorisés.

Les conséquences de cette situation sont particulièrement visibles dans les territoires d’outre-mer, où à Mayotte, 43% des élèves sont en situation d’illettrisme, et 80% des lauréats du DNB n’ont pas les compétences nécessaires en français.

Le poids écrasant de l’origine sociale : l’égalité des chances, un mirage ?

L’origine sociale continue de peser lourdement sur les parcours scolaires en France, révélant une fracture éducative persistante. Les chiffres sont sans appel : 41 % des enfants de cadres ont un bon niveau en français à l’entrée en sixième contre seulement 10 % des enfants d’ouvriers et 6 % des enfants d’inactifs.

Répartition des élèves selon l’origine sociale et le niveau de performance en français à l’entrée en sixième (2022)

 Source : Ministère de l’Éducation nationale, Note d’information, juin 2024.

Un enfant dont la mère n’a aucun diplôme n’a que 30,8 % de chances d’obtenir un baccalauréat général ou technologique, contre 84 % pour un enfant dont la mère est diplômée du supérieur.

À l’échelle internationale, les scores en compréhension de l’écrit révèlent que la France présente un écart de 107 points entre les élèves de milieux favorisés et défavorisés, supérieur à la moyenne de l’OCDE (89 points), illustrant ainsi l’ampleur du problème dans notre système éducatif.

Score moyen en compréhension de l’écrit des élèves de 15 ans selon le statut socio-économique (2018)

Source : INSEE, France, portrait social 2020

Les causes de ces inégalités sont multiples : ségrégation sociale dans les établissements, capital culturel inégalement réparti, et ressources limitées dans les zones défavorisées. La situation est particulièrement critique dans les établissements d’éducation prioritaire, où le taux de remplacement des enseignants absents reste inférieur aux moyennes nationales. En Seine-Saint-Denis par exemple, seules 65 % des absences sont remplacées dans le primaire, contre 77,4 % au niveau national.

Les conséquences de ce déterminisme social sont considérables. Les jeunes non-diplômés, majoritairement issus de milieux défavorisés, font face à un taux de chômage de 50% trois ans après leur sortie du système scolaire. Le coût pour la société est estimé à 230 000 € par individu sans diplôme sur 40 ans. Plus inquiétant encore, cette situation érode la confiance dans les institutions et compromet la cohésion sociale.

Un retard abyssal dans l’intégration du numérique

Le retard numérique du système éducatif français se manifeste de manière criante à travers des chiffres alarmants. Avec seulement 0,7 ordinateur par élève dans les collèges en 2023, la France accuse un retard considérable par rapport à ses voisins européens comme le Luxembourg (plus de 1,6/élève) ou le Royaume-Uni (1,5/élève). 

Équipement en ordinateurs par élève dans les collèges (2018)

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Source : PERSPECTIVES DE L’OCDE SUR L’ÉDUCATION NUMÉRIQUE 2023

Cette insuffisance infrastructurelle se double d’une autre. Bien que la France ait fait des progrès dans le déploiement du Wi-Fi dans les établissements scolaires, avec une connexion sans fil disponible pour environ la moitié des élèves (50,6%), elle reste très en retard par rapport à d’autres pays européens comme le Danemark et la Suède, où la couverture Wi-Fi est quasiment généralisée (respectivement 86,2% et 84,1% des élèves y ont accès).

Pourcentage d’élèves ayant accès à une connexion sans fil dans leur établissement (2018)

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Source : PERSPECTIVES DE L’OCDE SUR L’ÉDUCATION NUMÉRIQUE 2023

L’écosystème EdTech français peine également à s’imposer, avec un marché estimé à seulement 90 millions d’euros, soit dix fois moins qu’en Angleterre. Les investissements dans le secteur scolaire ne représentent que 7% du total des investissements EdTech en France, contre 30% aux États-Unis où ils dépassent les 600 millions de dollars.

Ce retard dans le déploiement des infrastructures numériques est symptomatique d’un décalage plus large de la France en matière de transformation digitale.

La perte de sens du métier d’enseignant : une vocation en voie de disparition

La perte de sens du métier d’enseignant se manifeste aujourd’hui à travers des indicateurs alarmants qui témoignent d’une crise profonde. Le recours croissant aux enseignants non-titulaires, qui a bondi de 80,9% entre 2015 et 2022, illustre les difficultés de recrutement, particulièrement dans des disciplines clés comme les mathématiques et les sciences. Cette précarisation se reflète dans le taux préoccupant de 11,3% d’enseignants non-titulaires dans le second degré public.

Les faits sont tout aussi alarmants avec la chute dramatique des candidatures aux concours de recrutement de CPE, passant de 9949 candidats en 2008 à seulement 3193 en 2023, soit une diminution de près de 68%. La baisse la plus marquée s’observe entre 2021 et 2022, avec une chute de 5192 à 3172 candidats, illustrant une perte d’attractivité accélérée du métier.

Données statistiques des concours externe et interne de recrutement de conseillers principaux d’éducation (CPE) depuis la session 2008 à 2023

Source : Ministère de l’Éducation nationale, Les données statistiques des concours de conseillers principaux d’éducation

La question salariale constitue un facteur déterminant de cette désaffection : les enseignants français accusent un retard d’au moins 16% par rapport à leurs homologues européens après quinze ans de carrière. La situation peut aussi s’expliquer par une charge de travail significativement plus importante pour les enseignants français et des conditions d’enseignement potentiellement plus difficiles.

En effet, la France, avec 19,2 élèves par enseignant, se situe bien au-dessus de la moyenne OCDE (14,6) et présente l’un des ratios les plus élevés parmi les pays développés. Cette situation contraste fortement avec l’Italie (11,5) ou la Belgique (12,8).

Nombre moyen d’élèves par enseignant en élémentaire (2017-2018)

Source : Ministère de l’Éducation nationale, « L’éducation nationale en chiffres 2021 », novembre 2021.

Ces chiffres soulignent un besoin urgent de mieux valoriser la fonction enseignante en France.

La méfiance croissante des Français envers le système éducatif

Le système éducatif français révèle des failles profondes face aux mutations contemporaines. La confiance des Français par rapport à leur système éducatif s’est d’ailleurs largement érodée, avec 52% d’opinions négatives (36% « assez mauvais » et 16% « mauvais ») contre seulement 20% d’opinions positives. Ce déséquilibre significatif traduit une perte de confiance dans l’institution.

Taux de satisfaction des Français vis-à-vis du système éducatif (2023)

Source : Ipsos, Global Education Monitor 2023

Cette baisse de confiance s’illustre particulièrement chez les jeunes chez qui on observe une baisse continue de la confiance sur la période 2018-2023, avec une diminution totale de 11 points de pourcentage. Cette érosion constante de la confiance pourrait indiquer un malaise croissant des jeunes vis-à-vis de l’éducation en France et mérite une analyse plus approfondie des causes sous-jacentes.

Évolution de la confiance des jeunes français envers le système éducatif

Source : Baromètre Jeunesse & Confiance 2023

Visiblement donc, l’offre éducative française peine à s’adapter aux réalités contemporaines et il urge de corriger ce décalage. 

La violence à l’école : un climat de peur qui mine la réussite

Le système éducatif français fait face à une problématique majeure de violence scolaire, comme en témoignent des indicateurs particulièrement préoccupants. Le nombre d’incidents graves pour 1000 élèves montre une relative stabilité autour de 12 incidents, avec une baisse temporaire en 2020-2021 probablement liée au contexte sanitaire, avant un retour un peu plus haut que le niveau initial en 2021-2022, puis une hausse à près de 14 en 2022-2023. Cette situation alarmante révèle un attentisme dangereux des acteurs à divers niveaux. 

Évolution du nombre moyen d’incidents graves pour 1 000 élèves dans les collèges et lycées (2018-2019 à 2022-2023)

Source : Violences et infractions dans les collèges et les lycées – INSEE

Bien évidemment, les apprenants sont les premières victimes de cette situation. A leur niveau, les violences psychologiques dominent, avec les vols de fournitures (54%) et les violences verbales (surnoms désagréables 44%, insultes 43%) comme principales manifestations. Les atteintes physiques, bien que moins fréquentes (28%), restent préoccupantes.

Proportion d’élèves déclarant avoir subi des violences répétées (2021-2022)

Source :  Enquête nationale de climat scolaire et de victimation, Ministère de l’Education Nationale (2021-2022)

Quant au harcèlement scolaire, il demeure un fléau persistant en France, touchant 9,1% des élèves de 15 ans, un taux supérieur à la moyenne de l’OCDE (8,3%). La cyberviolence s’impose également comme une menace croissante, affectant un collégien sur cinq de façon répétée.

Comparaison du pourcentage d’élèves victimes de cyberharcèlement en Europe (2023)

Source : OMS/Europe, Enquête HBSC 2023

Le corps enseignant n’est pas épargné : 18,9% des professeurs en élémentaire et 24,6% en collège rapportent subir des intimidations ou attaques verbales, des taux nettement supérieurs à la moyenne de l’OCDE. Plus alarmant encore, 900 enseignants ont été menacés avec une arme en 2023, illustrant une escalade préoccupante de la violence.

Ces statistiques dressent un portrait alarmant de la violence scolaire en France, où les taux dépassent régulièrement les moyennes de l’OCDE. Elles appellent à des mesures urgentes et des actions ciblées contre ce phénomène.

Le décrochage scolaire : un fléau qui persiste malgré les efforts

Le système éducatif français continue de faire face à un défi majeur : chaque année, environ 134 000 jeunes quittent l’école sans diplôme ou avec uniquement le brevet des collèges, représentant 17% des sortants. Bien que la France ait atteint l’objectif européen avec un taux de décrochage de 7,6% chez les 18-24 ans en 2022, les disparités sociales et territoriales demeurent préoccupantes.

Les disparités régionales sont assez significatives. L’Île-de-France présente le taux le plus favorable (5%), tandis que les Hauts-de-France affichent le taux le plus élevé (10%). Ces écarts reflètent les inégalités territoriales en matière d’éducation et d’opportunités socio-économiques.

Taux de décrochage scolaire par région en 2022

Source : L’Étudiant, « Derrière le décrochage scolaire, de fortes inégalités sont à l’œuvre », 2023.

Une différence notable se constate aussi entre les genres. Les garçons (9,2%) sont significativement plus touchés que les filles (6%). Cet écart de 3,2 points souligne la nécessité d’une approche genrée dans les stratégies de lutte contre le décrochage scolaire.

Taux de décrochage scolaire selon le sexe en France en 2022

Source : Jobimpact, « Le Décrochage Scolaire en France en 10 Chiffres [2024] ».

Le coût social de ce phénomène est considérable. Chaque jeune sortant sans diplôme représente une perte de 230 000 € pour la collectivité. Face à ce constat, des solutions émergent : l’apprentissage adaptatif pourrait réduire de moitié le taux de décrochage, tandis que la mixité sociale augmente jusqu’à 20% les chances d’accéder à l’enseignement supérieur pour les élèves modestes.

Le manque de moyens : l’éducation, parent pauvre du budget de l’État ?

Le paradoxe du financement de l’éducation française se révèle saisissant : alors que le pays consacre 7% de son PIB à l’éducation, soit 106,6 milliards d’euros, les résultats ne sont pas à la hauteur des investissements. Malgré un budget qui a doublé en 25 ans et une hausse historique de 3,6 milliards d’euros en 2023, la France peine à transformer ces ressources en performances académiques satisfaisantes. 

Ainsi, entre 2005 à 2023, une diminution constante et significative de 17% du nombre d’écoles publiques a été enregistrée en France, passant de 52 000 à 43 163. Cette tendance traduit une politique de concentration des établissements scolaires qui peut avoir des implications sur l’accessibilité de l’éducation, particulièrement dans les zones rurales.

La rationalisation du réseau d’écoles publiques, combinée à un sous-investissement dans certains secteurs clés comme le numérique éducatif, soulève donc des questions cruciales sur l’efficacité et l’équité du système éducatif français.

Évolution du nombre d’écoles publiques en France (2005-2023)

Source : L’Éducation nationale en France – Faits et chiffres | Statista

Les dépenses, supérieures à la moyenne de l’OCDE notamment dans le secondaire, coexistent avec des résultats scolaires moyens et un recul dans les classements PISA. Cette situation s’explique en partie par une allocation déséquilibrée des ressources. L’enseignement élémentaire souffre d’un sous-financement chronique, avec des dépenses par élève inférieures de 9% à la moyenne de l’OCDE

Le numérique éducatif illustre particulièrement ce déséquilibre : avec seulement 90 millions d’euros, soit dix fois moins qu’en Angleterre, et 3,5 euros par an et par élève pour les ressources numériques, la France accuse un retard significatif dans la modernisation de son système éducatif.

Les conséquences de ces déséquilibres sont particulièrement visibles dans l’accompagnement des élèves vulnérables. Alors que le coût du décrochage scolaire sur 40 ans s’élève à 230 000 euros par élève, les dispositifs de prévention restent insuffisants, avec seulement une trentaine de projets associatifs identifiés pour 100 000 futurs décrocheurs.

Des difficultés croissantes d’adaptation aux besoins des territoires ultramarins

La précarité de l’emploi enseignant est nettement plus marquée dans les DROM, où la part d’enseignants non-titulaires est nettement plus élevée, particulièrement dans le second degré où elle atteint près de 20% contre 8,2% en métropole. Cette situation traduit une difficulté majeure à attirer et stabiliser des enseignants titulaires, avec des conséquences potentielles sur la continuité pédagogique et la qualité de l’enseignement. Le cas de Mayotte est particulièrement préoccupant avec 39,3% d’enseignants non-titulaires.

Taux de non-titulaires dans l’enseignement public (2021-2022)

Source : Ministère de l’Education Nationale, Repères et références statistiques, édition 2022

Par ailleurs, les résultats au baccalauréat révèlent des écarts significatifs entre les DROM et la métropole. L’écart est particulièrement marqué dans les voies technologique et professionnelle (plus de 5 points), ce qui traduit des difficultés structurelles plus importantes dans ces filières nécessitant des équipements et des infrastructures spécifiques. Cette situation reflète des inégalités en termes de moyens et d’accompagnement pédagogique.

Taux de réussite au baccalauréat 2021 (%)

Source : Ministère de l’Education Nationale, Repères et références statistiques, édition 2022

L’analyse approfondie du système éducatif français révèle donc une crise systémique multidimensionnelle qui menace en 2025 les fondements mêmes de notre modèle républicain d’éducation. La convergence de ces dix défis majeurs dessine un tableau préoccupant qui appelle à une refonte urgente et globale. Face à ces constats alarmants, il apparaît crucial d’engager une transformation profonde du système éducatif français. Cette réforme devra nécessairement être systémique, prenant en compte l’ensemble des dimensions – humaine, sociale, territoriale et numérique – pour restaurer l’efficacité et l’équité de notre école.

Sources : 

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Romain Campenon
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