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Devenir formateur indépendant : notre guide

Sommaire
Devenir formateur indépendant est une voie professionnelle de plus en plus prisée puisque permettant aux concernés de partager son expertise et de transmettre ses connaissances
C’est cependant une décision qui ne s’improvise pas et qui demande une mise en conformité sur différents aspects. 

Ce guide complet vous accompagnera dans toutes les étapes clés pour réussir votre transition vers ce métier passionnant, de la définition de votre offre de formation à la gestion de votre activité au quotidien. 

Nous abordons les aspects essentiels tels que l’identification de votre niche, la création de vos supports pédagogiques, la prospection de clients, ainsi que les démarches administratives et juridiques pour lancer votre activité en toute sérénité.

Ce qu’il faut retenir

  • Le choix du statut d’un formateur indépendant dépend de son situation et de ses objectifs. Les statuts courants sont : micro-entrepreneur, EURL, SASU ou portage salarial.
  • Pour réussir en tant que formateur indépendant, il faut avoir l’expertise dans son domaine, avoir des qualités pédagogiques et relationnelles, ainsi qu’un sens de l’organisation et de l’adaptabilité
  • Aucun diplôme n’est obligatoire pour devenir formateur indépendant, mais il est tout de même recommandé de disposer de certaines certifications comme le Certificat de Formateur Professionnel (CFP).

Les démarches administratives et légales

DEMARCHES ADMINISTRATIVES ET LEGALES

Devenir formateur indépendant implique plusieurs démarches administratives et légales. Il est essentiel de bien se préparer pour éviter tout problème juridique ou fiscal.

Choisir son statut juridique

Le choix du statut juridique est une étape cruciale pour tout formateur indépendant. Il dépend de plusieurs facteurs, comme votre chiffre d’affaires prévisionnel, vos besoins en protection sociale et votre volonté de séparer votre patrimoine personnel et professionnel.

Voici les principaux statuts possibles :

  • auto-entrepreneur (micro-entrepreneur) : ce statut est simple et rapide à créer, avec des démarches administratives réduites. Cependant, vous avez une responsabilité illimitée sur vos biens personnels en cas de dettes.
  • EURL (Entreprise Unipersonnelle à Responsabilité Limitée) : l’EURL offre une meilleure protection de votre patrimoine personnel, mais les formalités de création sont plus complexes et coûteuses.
  • SASU (Société par Actions Simplifiée Unipersonnelle) : la SASU est un statut flexible et offrant une responsabilité limitée, mais les coûts de gestion sont plus élevés que pour une EURL.
  • portage salarial : avec ce statut, vous bénéficiez de la simplicité administrative du salariat, mais vous devez payer des commissions à la société de portage.
64% des créations d’entreprises étaient des micro-entreprises, preuve de l’attrait de ce statut pour les entrepreneurs.
INSEE, en 2021

S’immatriculer auprès des organismes compétents

Une fois votre statut choisi, vous devez vous immatriculer auprès des organismes compétents. Les démarches varient selon le statut.

Auto-entrepreneur

  • Faites votre déclaration auprès de l’URSSAF en quelques clics sur leur site web. Vous obtiendrez un numéro SIRET et serez automatiquement affilié à la Sécurité sociale des indépendants.

EURL/SASU

  • Rédigez les statuts de votre société, qui doivent inclure des informations comme le nom, l’objet social, le capital, etc.
  • Déposez les statuts au greffe du tribunal de commerce de votre ville, qui vous délivrera un extrait Kbis.
  • Publiez une annonce légale de création dans un journal d’annonces légales.

Quelle que soit la structure choisie, vous devez déclarer votre activité auprès de la Direccte (Direction régionale des entreprises, de la concurrence, de la consommation, du travail et de l’emploi) dans les 3 mois suivant la signature de votre premier contrat de formation.

Les autres organismes à contacter sont :

  • l’INSEE pour obtenir un numéro SIREN
  • et le CFE (Centre de Formalités des Entreprises) pour les formalités de création.

En 2020, selon l’URSSAF, la France comptait 3,6 millions de travailleurs indépendants, un chiffre en constante augmentation ces dernières années.

Souscrire une assurance responsabilité civile professionnelle

SOUSCRIRE UNE ASSURANCE RESPONSABILITE CIVILE PROFESSIONNELLE

En tant que formateur indépendant, vous devez impérativement souscrire une assurance responsabilité civile professionnelle (RC Pro). 

Cette assurance vous couvre en cas de dommages causés à des tiers (clients, stagiaires…) dans le cadre de votre activité.

Voici quelques conseils pour bien choisir votre assurance RC Pro :

  • Comparez les garanties et les tarifs de plusieurs assureurs spécialisés
  • Vérifiez les exclusions de garantie et les franchises applicables
  • Adaptez les montants de garantie à votre volume d’activité et aux risques potentiels
  • Pensez à inclure une protection juridique pour vous défendre en cas de litige

Selon la Fédération Française de l’Assurance (FFA), en 2021, 74% des professionnels avaient souscrit une assurance RC Pro, un chiffre en hausse de 2 points par rapport à 2020.

Trouver ses premiers clients et se constituer un réseau

Trouver ses premiers clients est un défi pour tout formateur indépendant qui se lance. Il est essentiel de se faire connaître et de constituer un réseau professionnel solide.

Pour cela, vous pouvez suivre ces quelques conseils :

  1. définissez précisément votre cible (particuliers, entreprises, secteur d’activité…) et votre offre de formation (thématiques, durée, format…)
  2. créez un site web vitrine professionnel présentant votre parcours, vos compétences et vos formations. Soyez présent et actif sur les réseaux sociaux professionnels comme LinkedIn.
  3. participez à des événements et des salons dans votre domaine d’expertise pour rencontrer des prospects et des prescripteurs. N’hésitez pas à prendre la parole et à partager vos connaissances.
  4. contactez des organismes de formation pour proposer vos services en sous-traitance ou en cotraitance. Vous pouvez aussi répondre à des appels d’offres publics ou privés.

Une étude de l’Association Nationale des DRH (ANDRH) révèle que 68% des entreprises ont recours à des formateurs externes pour tout ou partie de leurs besoins en formation.

Identifier les compétences et prérequis pour réussir dans ce métier

IDENTIFIER LES COMPETENCES ET PREREQUIS POUR REUSSIR

Devenir formateur indépendant nécessite certaines compétences et prérequis. Il est important de bien les identifier pour se lancer dans cette voie professionnelle avec les meilleures chances de succès.

Les expériences et expertises attendues

Pour être crédible en tant que formateur, il est essentiel de justifier d’une expertise reconnue dans son domaine. Cela passe par plusieurs éléments :

  • des diplômes et certifications attestant de vos compétences : un diplôme de niveau Bac+3 ou plus dans votre spécialité est souvent requis, ainsi que des certifications professionnelles spécifiques.
  • une expérience professionnelle significative dans votre spécialité : les clients attendent généralement un minimum de 3 à 5 ans d’expérience pour faire appel à un formateur indépendant.
  • la maîtrise des outils et logiciels spécifiques à votre domaine : vous devez être capable d’utiliser et de former sur les outils utilisés par vos clients.

Selon une étude de l’INSEE, 68% des formateurs indépendants ont un diplôme de niveau Bac+3 ou plus, ce qui montre l’importance de la formation initiale dans ce métier.

Les qualités personnelles importantes

Au-delà des compétences techniques, certaines qualités personnelles sont essentielles pour réussir en tant que formateur indépendant.

  • Pédagogie et capacité à transmettre : vous devez être capable d’adapter votre discours à votre public, de vulgariser des concepts complexes et de rendre vos formations interactives et dynamiques.
  • Aisance à l’oral et en public : animer une formation demande d’être à l’aise face à un groupe, de savoir capter l’attention et de gérer les interactions avec les participants.
  • Adaptabilité et flexibilité : chaque client et chaque formation est unique, vous devez donc faire preuve de souplesse, vous adapter aux demandes et personnaliser vos interventions.
  • Sens de l’organisation et rigueur : gérer son activité de formateur demande une bonne gestion du temps, un suivi rigoureux des dossiers et une grande réactivité.
Les 3 principales qualités d’un bon formateur sont la pédagogie (72%), l’expertise (65%) et l’adaptabilité (54%), devant l’aisance relationnelle (48%) et la rigueur (35%).
Enquête de la FFP (Fédération de la Formation Professionnelle)

Les certifications et diplômes recommandés

CERTIFICATIONS ET DIPLOMES RECOMMANDES

Si aucun diplôme n’est obligatoire pour devenir formateur indépendant, certaines certifications peuvent apporter une vraie plus-value et crédibilité à votre profil. Elles ne sont pas obligatoires mais peuvent faire la différence aux yeux des clients et organismes de formation.

Parmi les certifications les plus reconnues, on peut citer :

  • Le certificat de formateur professionnel (CFP) délivré par l’AFPA, qui atteste de compétences pédagogiques et d’ingénierie de formation.
  • Le titre de formateur pour adultes (FPA) enregistré au RNCP, qui valide des compétences d’animation, de conception et d’évaluation de formations.
  • Le certificat professionnel de la formation (CPF) de l’université de Lille, qui couvre les différentes facettes du métier de formateur.

Pour en savoir plus sur les organismes agréés proposant ces certifications, n’hésitez pas à consulter notre guide sur les différents organismes de formation.

Autres compétences utiles

Au-delà des compétences pédagogiques et techniques, d’autres compétences peuvent être utiles pour réussir en tant que formateur indépendant :

  • des compétences commerciales pour prospecter, négocier et fidéliser vos clients
  • des compétences en gestion pour gérer votre activité, vos finances et votre administratif
  • des compétences en communication pour promouvoir votre offre et développer votre image de marque
  • des compétences en langues étrangères pour intervenir auprès d’un public international

Connaître les avantages et les contraintes du métier de formateur indépendant

CONNAITRE LES AVANTAGES ET LES CONTRAINTES

Être formateur indépendant présente de nombreux avantages, mais aussi des contraintes à connaître. 

Il est important d’avoir une vision réaliste de cette activité pour se lancer en toute connaissance de cause.

Les atouts du statut

AvantagesDétails
Liberté et autonomieChoix des missions et des thématiques selon vos compétences et vos centres d’intérêtLiberté d’organisation de votre emploi du temps et de votre charge de travailPossibilité de travailler de chez soi ou de tout autre lieu, sans contrainte géographique
Rémunération attractiveTarifs journaliers élevés, surtout si vous avez une expertise pointue et recherchéePossibilité de facturer plus en fonction de votre expérience et de votre renomméePotentiel de revenus important si vous savez vous faire connaître et prospecter efficacement
Épanouissement personnel et professionnelSentiment gratifiant de transmettre ses connaissances et de contribuer à la montée en compétencesContact humain enrichissant avec des profils variés (salariés, demandeurs d’emploi, dirigeants…)Missions stimulantes et diversifiées qui permettent d’évoluer en permanence
Tableau récapitulatif des atouts du statut

Le principal atout du statut de formateur indépendant est sans conteste la liberté. Vous pouvez choisir vos missions, vos horaires et votre lieu de travail, ce qui offre une grande souplesse dans l’organisation de votre activité. 

La rémunération peut aussi être attractive, surtout si vous avez une expertise recherchée et une bonne réputation sur le marché. 

Sur le plan humain, être formateur indépendant permet de vivre des expériences enrichissantes en transmettant ses savoirs et en échangeant avec des publics variés. 

Enfin, la flexibilité du statut permet de travailler pour plusieurs clients et structures, ce qui apporte de la diversité dans les missions.

Les difficultés à anticiper

Malgré ces avantages, le métier comporte aussi des défis qu’il faut anticiper. À savoir :

  • irrégularité des revenus, surtout en début d’activité : il peut y avoir des périodes creuses entre deux missions, ce qui demande une bonne gestion financière.
  • nécessité de prospecter en continu pour trouver de nouveaux clients : un formateur indépendant doit consacrer du temps à la commercialisation de ses services pour maintenir un carnet de commandes suffisant.
  • gérer seul tous les aspects de son activité (administratif, commercial…) : être indépendant, c’est être polyvalent et savoir tout gérer, de la facturation à la communication en passant par la veille pédagogique.

D’après une étude de l’INSEE, 28% des formateurs indépendants gagnent moins de 1 500 € par mois, ce qui montre que les débuts peuvent être financièrement difficiles. Il faut donc avoir une trésorerie suffisante pour faire face aux aléas.

S’organiser au quotidien

SORGANISER AU QUOTIDIEN

Pour réussir en tant que formateur indépendant, une bonne organisation est primordiale. Voici quelques conseils.

  1. Planifier et préparer ses interventions en amont : anticipez au maximum pour être serein le jour J et peaufiner vos supports.
  2. Alterner entre temps de préparation et temps d’animation : sachez doser votre planning pour avoir assez de temps pour concevoir des formations de qualité.
  3. Savoir gérer son temps et ses priorités : utilisez des outils de gestion de projet et de planification pour optimiser votre temps et vous concentrer sur l’essentiel.
  4. Maintenir un équilibre entre vie professionnelle et personnelle : le risque quand on est indépendant est de ne jamais déconnecter. Fixez-vous des limites pour préserver votre vie privée.
Les formateurs indépendants consacrent en moyenne 50% de leur temps à l’animation, 30% à la préparation et 20% à la gestion administrative et commerciale.
Enquête de la FFP

C’est un bon repère pour équilibrer votre activité.

Avoir des conseils pratiques pour développer son activité

CONSEILS PRATIQUES POUR DEVELOPPER SON ACTIVITE

Pour réussir en tant que formateur indépendant, il faut savoir développer son activité de manière stratégique et efficace

Voici quelques conseils pratiques pour vous aider à vous lancer et à pérenniser votre business dans ce secteur concurrentiel.

Définir son offre de formations et ses tarifs

Avant de vous lancer, il est crucial de bien définir votre offre et vos tarifs. C’est la base pour attirer des clients et vous démarquer de la concurrence. Pour cela :

  • analysez le marché et la concurrence pour identifier les besoins et les tendances : quelles sont les formations les plus demandées ? Quels sont les tarifs pratiqués ? Quels sont les profils des formateurs ?
  • identifiez vos points forts et vos domaines d’expertise pour vous démarquer : qu’est-ce qui fait votre originalité ? Quelles sont vos compétences clés ? Quelle valeur ajoutée apportez-vous ?
  • établissez une grille tarifaire en fonction de différents facteurs (durée, niveau, etc.) : quels sont vos coûts fixes et variables ? Quelle marge souhaitez-vous dégager ? Quelles sont les attentes du marché ?

Gagner en visibilité

Pour attirer des clients, vous devez être visible et reconnu dans votre domaine. C’est un travail de longue haleine qui passe par différents canaux. Quelques pistes :

  1. créez du contenu pertinent sur votre site web et vos réseaux sociaux : articles de blog, infographies, vidéos, podcasts… L’objectif est de démontrer votre expertise et de vous positionner comme un référent dans votre domaine.
  2. participez à des événements et prenez la parole pour démontrer votre expertise : conférences, salons, webinaires… C’est l’occasion de vous faire connaître, de réseauter et de capter de nouveaux leads.
  3. publiez des articles ou intervenez dans des médias spécialisés pour gagner en notoriété : presse professionnelle, sites d’experts, émissions radio ou TV… Cela renforce votre crédibilité et vous donne une caisse de résonance supplémentaire.

D’après une enquête de l’INSEE, 25% des formateurs indépendants trouvent leurs clients grâce à leur réseau professionnel. D’où l’importance de soigner votre personal branding et votre networking.

Fidéliser ses clients et en trouver de nouveaux

FIDELISER SES CLIENTS ET EN TROUVER DE NOUVEAUX

La clé pour durer dans le métier, c’est de fidéliser vos clients tout en prospectant sans cesse de nouveaux prospects. C’est un équilibre subtil à trouver pour sécuriser et développer votre activité. Pour cela :

  1. soignez la qualité de vos formations pour satisfaire vos clients et susciter des recommandations : contenu adapté, pédagogie innovante, supports attractifs, écoute et bienveillance… Chaque détail compte pour enchanter vos clients !
  2. proposez des offres complémentaires ou des programmes sur-mesure pour répondre à tous les besoins : formations intra-entreprise, coaching individuel, ateliers thématiques, parcours blended learning… Soyez force de proposition pour développer votre chiffre d’affaires.
  3. demandez des recommandations et des avis pour améliorer votre prestation et gagner en crédibilité : témoignages écrits, vidéos, notes et commentaires… C’est un excellent levier pour rassurer de nouveaux clients et améliorer en continu votre offre.
  4. prospecter régulièrement de nouvelles entreprises pour renouveler votre portefeuille clients : phoning, emailing, réseaux sociaux, événements… Définissez un plan d’action commercial et consacrez-y du temps chaque semaine.
68% des entreprises font appel à des formateurs externes pour compléter leur plan de formation.
FFP

C’est dire si le potentiel est important pour les formateurs indépendants !

Les meilleurs outils et méthodes pour animer des formations

Pour que vos formations soient efficaces et appréciées, utilisez les bons outils et méthodes d’animation. C’est la garantie d’une pédagogie innovante et impactante. Voici quelques bonnes pratiques :

  • variez les supports (présentations, vidéos, exercices…) pour dynamiser vos interventions : les apprenants ont besoin de changements de rythme et de stimuli variés pour rester attentifs et impliqués.
  • favorisez l’interaction et la participation active des apprenants pour faciliter l’ancrage des connaissances : questions, brainstormings, travaux de groupe, restitutions… Toutes les occasions sont bonnes pour les faire s’exprimer et collaborer.
  • utilisez des outils d’animation numériques (quizz, sondages…) pour rendre vos formations plus ludiques et interactives : plateformes dédiées, applis mobiles, réalité virtuelle… La technologie est votre alliée pour capter l’attention et faciliter la mémorisation.
  • appuyez-vous sur des cas pratiques et des mises en situation pour faciliter le transfert des acquis : exemples concrets, jeux de rôle, simulations… Plus c’est ancré dans la réalité professionnelle des apprenants, plus c’est parlant et transférable.

Une étude de l’AFPA (Agence nationale pour la Formation Professionnelle des Adultes) révèle que 85% des apprenants sont plus motivés quand la formation est interactive et participative. Preuve que la pédagogie active est la clé de l’engagement et de la réussite !

Quelques questions que vous pourriez avoir sur : Devenir formateur indépendant : notre guide.

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Rose Eddie
Depuis longtemps immergée dans l'univers de la création de contenus, je me spécialise désormais dans la formation. Avec une passion ardente pour les mots et une connaissance approfondie du domaine, je rédige aujourd'hui des articles qui mettent en lumière le rôle crucial de la technologie dans l'apprentissage, la recherche et le choix de formations adaptées à chacun.
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